souffre

Mercredi 3/11/2016 – leclimatchangeetnous.net. L’OMI s’aligne sur l’Europe pour diminuer au

minimum la teneur en soufre des carburants marins.

Le 28/10/2016, le Comité de la protection du milieu marin (MEPC) de l’OMI est parvenu à un

accord, hier, pour maintenir la date butoir du 1er janvier 2020 pour l’entrée en vigueur du taux

maximum de 0,5 % de teneur en soufre dans les carburants marins (*) dans le cadre de la

convention internationale Marpol.

Demain, 4 novembre 2016, l’Accord de Paris entre en vigueur.

le president rwandais paul kagame et des participants du 4160155 1000x500
 
Lundi 17/10/2016. leclimatchangeetnous.net. C'est un grand pas en avant à la fois pour le climat et l'industrie...
 

"Un accord historique a été obtenu à la fin de cette nuit entre les 197 pays parties au Protocole de Montréal pour réduire l’utilisation des gaz HFC.

Cet accord va permettre une disparition progressive des HFC (hydrofluorocarbures), utilisés dans la climatisation (bureaux, habitations, véhicules), les appareils domestiques et les présentoirs de vente réfrigérés, les restaurants, les entrepôts logistiques. Ces substances ont émergé ces dernières années en substitution des substances nocives pour la couche d’ozone (CFC, HCFC).

Faute d’accord, les experts estimaient que ces substances seraient à l’origine de 20% des émissions de gaz à effet de serre en 2050, et auraient généré jusqu’à 0,5°C de réchauffement de la planète d’ici à 2100.

L’accord obtenu cette nuit amènera à réduire l’utilisation de ces gaz dès l’entrée en vigueur de l’amendement, selon un calendrier progressif qui permet de débuter la substitution dans les pays qui sont les plus consommateurs de fluides frigorigènes, notamment les Etats-Unis, l’Union Européenne et la Chine. Il est par ailleurs juridiquement contraignant et prévoit un calendrier d’élimination progressive pour tous les pays.

Une clause de révision a par ailleurs été ajoutée à l’accord, pour permettre d’inscrire un calendrier plus ambitieux au regard du progrès technologique et des effets bénéfiques des réductions fortes qui auront déjà été opérées dans les pays les plus consommateurs de fluides. Ségolène Royal souhaite que cette révision soit l’occasion d’accélérer l’ambition, à l’image de la révision menée sur ce même Protocole pour l’élimination des substances HCFC qui avait conclu à une accélération du calendrier.

Les premières estimations de l’accord trouvé ce matin permettent d’attendre environ 72 milliards de tonnes équivalentes de CO2 d’émissions évitées d’ici à 2050 (dont 8 milliards de tonnes dues aux législations européennes et américaines adoptées récemment et reprises dans l’accord). Un gain d’environ 8 à 10 milliards de tonnes équivalentes de CO2 supplémentaires est par ailleurs attendu de dispositions sur le recyclage et l’élimination des co-produits à fort pouvoir de réchauffement dans les unités industrielles de fabrication des HFC. Pour mémoire, les émissions annuelles d’origine humaine de la France s’élèvent à un demi-milliard de tonnes de CO2.

Cet accord permettra également l’utilisation chez les particuliers et chez les professionnels de fluides frigorigènes alternatifs aujourd’hui disponibles : hydrocarbures, dioxyde de carbone, ammoniac, eau ou d’autres substances chimiques de synthèse appelées hydrofluoroléfines (HFO).

La France, notamment sous l’impulsion de Ségolène Royal, s’est beaucoup investie ces derniers mois pour favoriser cet accord : échanges avec les ministres des autres pays, engagements financiers, comportement exemplaire par la mise en d’appels à projets et de financements pour financer d’une part les actions de recherche et développement et d’autre part la conversion industrielle des sites de productions d’équipements aux fluides alternatifs.

 

Ségolène Royal souligne que cet accord permettra de renforcer l’objectif de l’accord de Paris de limiter le réchauffement planétaire à 1,5°C - 2°C d’ici à 2100."

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Mercredi 3/11/2016 – Leclimatchangeetnous.net. COP22 : J-4. La COP22 sera la COP de la

concrétisation et de la mise en oeuvre de l’Accord de Paris Selon les chiffres de l’ONU,

l’Europe à 28 membres est le 3ème plus gros pollueur de la planète après la Chine (20,1%),

les Etats-Unis (17,9%).

Ensuite viennt la Russie (7,5%), l’Inde (4,1%) et le Japon (3,8%)

L’Allemage qui a été obligée momentanément de relancer ses centrales à charbon émet

2,56% du total mondial, devant le Royaume-Uni (1,55%), la France (1,34%), l’Italie (1,18%) et

la Pologne (1,06%).

Pour abaisser leurs émissions de gaz à effet de serre, tous ces pays orientent leur transition

énergétique vers les ENR et les énergies renouvelables de la mer dans le cadre d’un mix

énergétique

 

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France – Mercredi 5/10/2016 – “leclimatchangeetnous.net”. Hier, l’Union Européenne a ratifié l’Accord de Paris. Ce succès replace aussi la conférence « Our Ocean » qui s’est tenue à Washington le 16 septembre 2016 au coeur des nouveaux enjeux.

A l’occasion de la conférence « Our Ocean » organisée par le Secrétaire d’Etat américain John Kerry les 15 et 16 septembre 2016, Ségolène Royal a présenté de nouvelles initiatives pour la protection de l’océan à l’échelle nationale :

. Création de nouvelles aires marines protégées : extension  de  la réserve  marine  des  terres  australes françaises, et création d’une aire marine protégée autour de l’île de Clipperton, dans le Pacifique, qui porteront à plus de 21 % la part des eaux sous juridiction française qui sont protégées, alors que ce taux s’élevait à seulement 4 % en 2014 ;

. Plan national pour la protection et la reconstruction des coraux et des mangroves ;

. Conciliation entre navigation et protection de la biodiversité marine.
 

La Présidente de la COP21 a aussi souligné les actions engagées pour placer l’océan au cœur des négociations internationales : lancement d’une coalition des pays s’engageant pour l’interdiction des sacs plastiques à usage unique, coalition contre l’acidification de l’Océan, élaboration d’un rapport spécial du GIEC, travaux de l’Organisation maritime internationale sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre du transport maritime internationale, …

A cette occasion, une réunion de haut-niveau sur la Méditerranée pour une croissance bleue était organisée en marge de la conférence du Département d’Etat US par Ségolène Royal à la Résidence de France de Washington sur le plan Méditerranée, qu'elle a lancé le 27 juin dernier, en présence de Karmenu Vella, Commissaire européen aux affaires maritimes et des pays du pourtour méditerranéen (Chypre, Egypte, Espagne, France, Grèce, Italie, Libye, Malte, Maroc, Monaco, Autorité palestinienne, Tunisie, Turquie…).

Evoquant le "Plan Méditerranée pour une croissance bleue" proposé par la présidente de la COP21, Ségolène Royal, pour sauver la Mer méditerranéenne, Hakima El Haité a indiqué que cette initiative offre aux acteurs méditerranéens l'opportunité de mieux coordonner leurs positions sur la mise en oeuvre de l'Accord de Paris et de valoriser leurs initiatives, notamment par une inclusion plus étendue dans les coalitions du Paris-Lima Action Agenda, ou Agenda Global de l'Action Climatique. 

Elle a souligné, dans ce contexte, la nécessité de mettre en place un grand agenda méditerranéen du climat et du développement durable, pour les pays riverains de la Méditerranée, ainsi que pour leurs voisins et l'ensemble de la communauté internationale. 

Le "Plan Méditerranée pour une croissance bleue" s’article sur trois axes, à savoir une mer en bonne santé, une économie maritime et littorale durable et une gouvernance qui anticipe le changement climatique. 

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Bruxelles, Belgique – Lundi 31/10/2016 – leclimatchangeetnous.net- L'UE et le Canada ont signé dimanche leur traité de libre-échange (CETA), retardé par de vifs désaccords internes belges. Le Journal de Montréal rapporte les propos suivants : l’épisode (qui vient de sa passait) qui rend incertaine l'étape suivante: sa ratification obligatoire par chacun des différents Parlements des pays de l'Union.

«Quelle patience !", a lancé le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker au Premier ministre canadien Justin Trudeau à son arrivée dimanche peu après midi (11 h GMT) au siège du Conseil de l'Union Européenne.

«Les choses difficiles sont difficiles, mais on a pu réussir», lui a répondu M. Trudeau. «Bien joué !», a-t-il aussi dit au président du Conseil Donald Tusk.

… Le Premier ministre canadien - dont l'arrivée a été retardée d'une heure et demi en raison d'un problème d'avion technique au départ d'Ottawa - attendaient depuis plusieurs jours que les Européens règlent leurs bisbilles afin que l'accord puisse être signé.

Une énième crise européenne, dans une UE déjà ébranlée par le Brexit, la crise des migrants et le terrorisme.

Le CETA est «un accord moderne et progressiste, ouvrant la porte à de nouvelles opportunités, tout en protégeant les intérêts importants», a plaidé Robert Fico, le Premier ministre slovaque, dont le pays assure la présidence tournante de l'UE.

leclimatchangeetnous.net/index.php/articles/13-accord-ceta-canada-quebec

energiesdelamer.eu/publications/65-etats-collectivites/2518-creation-d-un-institut-france-quebec-maritime

leclimatchangeetnous.net/index.php/articles/12-tous-les-regards-sont-poses-sur-les-regions-wallone-et-bruxelloise

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France - Inde – Lundi 3/10/2016 – leclimatchangeetnous.net. Avec la ratification le dimanche 2 octobre 2016 de l’Accord de Paris par l’Inde, le traité issu de la COP21 destiné à contenir le réchauffement climatique sous le seuil de 2 °C par rapport au niveau préindustriel fait un grand pas en avant.

La date n’a pas été choisie par hasard par Narendra Modi, le premier ministre indien. C’est le jour anniversaire de la naissance du Mahatma Gandhi. Le grand sage avait déclaré que la planète comptait « suffisamment de ressources pour répondre aux besoins de tous, mais pas assez pour satisfaire le désir de possession de chacun ».

Comme le souligne le quotidien Le Monde, l’Inde peaufine ainsi son image d’une puissance émergente, consciente de ses responsabilités dans la limitation du changement climatique.

C’est dorénavant un total de 62 pays représentant près de 52 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre qui ont désormais ratifié l’accord. Il ne manque plus que 3%, mais, avec l’Union européenne, qui doit signer cette semaine, le traité conclu à Paris en décembre 2015 réunira les conditions nécessaires à son entrée en vigueur. Il devrait intervenir dès la fin de l’année, peut-être pendant la COP22 de Marrakech sous l’égide de la présidence du Maroc.
2HakimaElHaite
Hakima El Haïté, ministre déléguée auprès du ministre de l’Energie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement chargée de l’Environnement au Maroc et championne pour le climat, était à Paris la semaine dernière. Elle a toujours souligné que Marrakech serait la COP de l’action. Elle n’a pas hésité à la redire devant la commission de l’Aménagement du Territoire et du développement durable du Sénat, jeudi 29/09/2016

http://videos.senat.fr/video.201709_57ee2abf8b978?video=36410

La veille, The Bridge Tank présidé par Joël Ruet qui s’appuie sur un conseil d’orientation international dont les membres occupent des positions de décideurs tant politiques, qu’industriels ou d’influence, avait réuni un comité de travail Innovacop  restreint autour de la ministre pour travailler sur « les conditions et ls outils necessaires pour que les défis du changement climatique offrent de réelles opportunités économiques? »


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L’objectif de la ministre est de faire émerger des solutions et des recommandations innovantes, à partir d’échanges et discussions autour des enjeux clés de la COP 22.

Les débats ont été orientés autour de deux sous-thématiques : la transition énergétique à travers les solutions technologiques et le renforcement des capacités, ainsi que les ressources et mécanismes innovants de financement de l’adaptation au changement climatique.

Elle a également rappelé que l’innovation et la R&D Sud Sud étaient des éléments clés et qu’elle souhaitait une ouverture plus grande vers les petites et moyennes entreprises.

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Régions wallonie et bruxelloise – Jeudi 27/10/2016 – leclimatchangetenous.net. Alors que les régions refusaient d'approuver le traité du CETA, un accord a été trouvé entre les différentes parties belges pour signer le traité de libre-échange entre le Canada et l'Union européenne, a annoncé jeudi 27 octobre le Premier ministre, Charles Michel.

Cet accord, qui doit être envoyé à l'Union européenne et pourrait permettre la signature prochaine du traité, doit être approuvé par les différents Parlements de Belgique. "Le dernier mot revient aux parlements",qui doivent se réunir avant vendredi minuit, a rappelé le Premier ministre, cité par Le Soir.

"La Wallonie est extrêmement heureuse"

"Nous avons enfin trouvé un accord entre Belges", a pour sa part déclaré le ministre-président de la région francophone de la Wallonie, le socialiste Paul Magnette, chef de file des opposants au Ceta. "La Wallonie est extrêmement heureuse que nos demandes aient pu être entendues", s'est-il réjoui.

Depuis plusieurs jours, le gouvernement fédéral belge tente en vain de convaincre la Wallonie, ainsi que la région de Bruxelles-Capitale et la Communauté linguistique française de Belgique de revenir sur leur veto, qui bloque la signature du Ceta par la Belgique et, en conséquence, par l'Union européenne toute entière.

Les opposants belges au Ceta critiquaient notamment le mécanisme d'arbitrage qu'il instaurerait en cas de conflit entre un investisseur et un Etat. Ils craignent aussi que l'accord ne dégrade la filière agricole, un enjeu majeur en Wallonie.


Le Comprehensive Economic and Trade Agreement (CETA ou Accord économique commercial global) est un accord commercial qui ne se contente pas de réduire les droits de douane entre l’UE et le Canada, mais veut aussi aboutir à une convergence de certaines normes pour limiter   ce que les partisans du libre-échange appellent les « barrières non tarifaires » au commerce. L’ambition est de réduire de 36% à 3% la part des exportations européennes soumise à de tels obstacles.

Sources : Le Soir, France Info, Le Monde, les Echos

energiesdelamer.eu/publications/65-etats-collectivites/2518-creation-d-un-institut-france-quebec-maritime

leclimatchangeetnous.net/index.php/articles/12-tous-les-regards-sont-poses-sur-les-regions-wallone-et-bruxelloise

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Strasbourg – France. Mardi 4/10/2016 « leclimatchangeetnous »

Le Parlement réuni en session plénière doit donner aujourd’hui son approbation à la ratification par l’Union européenne de l’accord mondial sur le changement climatique de Paris. À cette occasion, le Secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon et la Présidente de la COP21 Ségolène Royal se rendent à Strasbourg (voir article d’hier).

L’événement désigné comme historique sera retrasmis en direct sur le site web du parlement européen

http://www.europarl.europa.eu/plenary/fr/home.html à partir de 12 heures (heure de Paris).

Le Secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon s’adressera aux députés. Le Président du Parlement européen et les Présidents des différents groupes politiques prendront également la parole. Le vote autour de l’accord de Paris aura ensuite lieu vers 12 heures 15.

À ce jour, 62 parties, représentant 51,89 % des émissions mondiales, ont officiellement déposé leur instrument de ratification. La ratification par l’Union européenne est donc symbolique puisqu’elle permettra au texte d’entrer en vigueur d’ici la fin de l’année.

A signaler : Giovanni La Via, député démocrate-chrétien italien est le Président de la délégation du Parlement à la COP21.

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L'accord est signé depuis 13h heure française.

 

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Wallonie. Mercredi 26/10/2016 – leclimatchangeetnous.net. Cette dernière semaine, tous les regards étaient posés sur les régions wallone et bruxelloise qui ont opposé un veto au contrat de libre échange euro-canadien.

 

 

Revue de presse

 

 

Le quotidien le Soir relève que Libération célèbre la Wallonix et le Journal de Montréal tire son chapeau aux Wallons pour avoir résisté à la pression qui était excercée afin que la Wallonie, tous les médias étrangers ne sont pas toujours aussi élogieux.

 

 

Le magazine américain Fortune, lui, compare la décision du parlement wallon de dire « non » au Ceta à la politique de Donald Trump, qui s’est montré critique sur plusieurs traités internationaux. « Fortune » n’y va pas de main morte. Pour lui, « deux millions » de Wallons viennent de gaspiller sept années de négociations, et par la même occasion, « d’avoir réduit en cendres » les espoirs des entreprises américaines d’accéder plus facilement au marché européen.

 

 

Le Daily Expressvoit dans le « non au Ceta » des Wallons un mauvais présage pour le Brexit. Il parle de la « perspective de voir une minuscule région comme la Wallonie rendre difficile d’obtenir un bon accord pour le Royaume-Uni ». The Telegraphcite même un ministre qui témoigne anonymement : « Cela pourrait prendre une dizaine d’années pour obtenir un accord. Le Royaume-Uni est à la merci des Wallons ».

 

 

A l’occasion de la création de l’institut franco-québécois maritime et du voyage de Manuel Valls au Canada et au Québec, le portail energiesdelamer.eu avait rappelé le contexte dans lequel évoluaient l’Europe et plus particulièrement la France.

24-10-16 Yeu et Noirmoutier : Engie poursuit sa stratégie

17-10-16 Création d'un Institut France Québec Maritime

 

Le Secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon se rendra à Strasbourg mardi 4/10/2016 pour assister au vote final du Parlement européen portant sur la ratification de l’accord de Paris par l’UE.

Le Secrétaire général Ban Ki-moon s’adressera à la session plénière du Parlement européen à l’occasion du vote.

 

La Présidente de la conférence de l’ONU sur le changement climatique Ségolène Royal a également été invitée et sera présente lors du vote.

Une série d'interventions d'une minute par représentant de groupe politique aura lieu juste avant le vote, qui sera suivi d'une conférence de presse.

 

Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon sera à Strasbourg demain pour s’adresser au Parlement européen, à l’occasion du vote sur la ratification européenne de l’accord de Paris sur le climat.

Ségolène Royal, ministre française de l’Environnement, sera aussi présente pour le vote.

Ce sera la troisième visite strasbourgeoise de Ban Ki-moon en tant que secrétaire général de l’ONU : il était déjà venu en 2010, au Parlement et au Conseil de l’Europe et 2012 au Conseil de l’Europe pour le Forum mondial de la démocratie.

Algeria

Algérie – Mardi 25/10/2015 – leclimatchangeetnous.net. L'Algérie a procédé, par décret présidentiel à la ratification de l'Accord de Paris sur le climat adopté fin 2015, à la 21e Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP21). L’accord entrera en vigueur le 4 novembre prochain.

Le président Abdelaziz Bouteflika, qui avait "co-présidé le processus de la négociation internationale ayant conduit à l’adoption de cet Accord historique", était parmi les "premiers pays à le signer lors de la cérémonie de signature de haut niveau", tenue à New York le 22 avril dernier, sous l’égide du Secrétaire général des Nations Unies, en sa qualité de dépositaire de l’Accord.

La ratification est intervenue le jeudi 13 octobre 2016. Pour preuve de son engagement indéfectible en faveur du Climat, l'Algérie était parmi les premiers pays en développement à soumettre sa Contribution prévue déterminée au niveau national (INDC) au secrétariat de la Convention-cadre sur les changements climatiques, en septembre 2015.

Elle prévoit, d'ici 2030, une réduction inconditionnelle des rejets nationaux de GES de 7%, et de 22% dans le cas où l'Algérie bénéficie d'un accompagnement technologique et financier adéquat et d'investissements de la part de ses partenaires au développement.

D’après L’Expression (http://www.lexpressiondz.com/actualite/252466-l-algerie-ratifie-l-accord-de-paris-sur-le-climat.html) « il est attendu que l'Algérie apporte une contribution qualitative d'importance, à travers une délégation intersectorielle de haut niveau, au succès des travaux de la COP22 devant se tenir à Marrakech (Maroc) en novembre prochain ».

Nombre de parties ayant ratifié l'accord de Paris au 25/10/2016 : 84 pays sur 197

Ratifié (84)

Signé (191)

 

Proportion des émissions globales couvertes par l'accord : 61.0103%

 

Pour que l’accord soit adopté, il fallait atteindre le chiffre de 55% et 55 pays.

Pour en savoir plus / le site http://paris-agreement.fr/index.fr.html met à jour quotidiennement l’avancée des ratifications.

La COP22 se tient du 7 au 18 novembre 2016 à Marrakech Maroc

 

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Le soutien international fort et la mobilisation intense suscités par ce nouvel instrument multilatéral historique dédié au Climat ainsi que la promptitude, jamais égalée, avec laquelle il entrera en vigueur le 4 novembre prochain, témoignent de l’urgence à agir et reflète le consensus au sein de la communauté internationale à relever le défi climatique à travers une coopération mondiale solidaire.

L'Accord de Paris est marqué par son caractère universel et sa portée sur l'action étant donné que les pays développés et ceux en développement, en dépit de leur responsabilités communes mais différenciées dans le réchauffement climatique, sont désormais interpellés d'oeuvrer collectivement pour la stabilisation de la hausse de la température moyenne terrestre entre 2 et 1,5° C d’ici à la fin du siècle sur la base de leurs capacités respectives et de l'évolution de leurs circonstances nationales.

L'Algérie "demeure convaincue que la lutte contre le réchauffement climatique ne doit pas compromettre les efforts des Etats dans leur droit au développement et à l’éradication de la pauvreté."

Bien que reconnue par les rapports scientifiques de la Convention onusienne comme l'un des pays les plus vulnérables aux effets adverses des changements climatiques et des moins pollueurs dans le monde, l'Algérie "poursuivra son engagement à l'effort global de réduction des gaz à effet de serre (GES) par une politique ambitieuse de transition énergétique axée sur le développement des énergies propres d'autant qu'elle recèle d'un potentiel énorme en sources d'énergies renouvelables"

Pour preuve de son engagement indéfectible en faveur du Climat, l'Algérie était parmi les premiers pays en développement à soumettre sa Contribution prévue déterminée au niveau national (INDC) au secrétariat de la Convention-cadre sur les changements climatiques, en septembre 2015.

Elle prévoit, d'ici 2030, une réduction inconditionnelle des rejets nationaux de GES de 7%, et de 22% dans le cas où l'Algérie bénéficie d'un accompagnement technologique et financier adéquat et d'investissements de la part de ses partenaires au développement.

Dans ce contexte, il est attendu que l'Algérie apporte une contribution qualitative importante, à travers une délégation inter-sectorielle de haut niveau, au succès des travaux de la COP22 devant se tenir à Marrakech durant le mois de Novembre prochain.

 

Lundi 26/09/2016 - Leclimatchangeetnous.net - Après la Chine et les Etats-Unis d’Amérique les deux pays les plus pollueurs, l’Allemange vient de signer l’Accord de Paris. Le Bundestag et le Bundesrat ont respectivement approuvé jeudi 22 et vendredi 23 septembre l'Accord de Paris sur le changement climatique convenu lors de la COP21 en décembre 2015.

 

La loi allemande sur l'Accord de Paris est donc susceptible d'entrer en vigueur dès le début du mois d’octobre 2016, après la signature de Joachim Gauck, Président de la République fédérale allemande et sa publication dans l’organe officiel allemande.

 

Barbara Hendricks, ministre de l'Environnement a tenu a souligné que l'accord de Paris est «un grand signe d'espoir" dans la lutte contre le réchauffement climatique,

 

Ce vote allemand intervient au lendemain de la ratification à l'ONU par 31 pays de cet accord. Pour entrer en vigueur, il doit être ratifié par 55 pays, qui doivent totaliser 55% des émissions de gaz à effet de serre. Pour l'instant, 60 pays l'ont ratifié mais ils représentent moins de 48% des émissions.

Segolène Royal qui se rend au Forum international de l’énergie qui se tient à Alger les 27 et 28 septembre espère emporter de nouvelles adhésions de pays africains.

 

Pour entrer en vigueur, il doit être ratifié par 55 pays, qui doivent totaliser 55% des émissions de gaz à effet de serre.

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